Coincée entre deux immeubles bas, construits il y a moins de dix ans, je me fraye un passage vers les oiseaux et les insectes. Il y a ici des arbres, des hautes herbes, un peu plus de silence qu'ailleurs. J'élève alors deux poules, en plus de mes chats. J'installe une mangeoire à oiseaux et un hôtel à insectes. Je prépare le potager pour le printemps, tout en restant phobique des vers. Je laisse pousser quelques herbes aromatiques dans des pots de couleurs, récupérés chez Emmaüs. Mon jardin n'est pas riche, c'est un jardin de pavillon. Mais j'y trouve ma place. J'y retrouve mon lien à la campagne. Ça soulage.
Ni vu, ni connu ! Les oiseaux le verront-ils ? (réponse bientôt)
Mes Marans
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